Fonctionnement de Zombiology !

Zombiology est un jeu de rôle de Damien Coltice qui vous plonge au cœur d’une épidémie zombie. Entre horreur, survie et tension permanente les joueurs ne vont cesser de redoubler d’imagination pour survivre dans ce milieu hostile. Pensé comme un survival-horror complet, il met l’accent autant sur la fragilité des personnages que sur la dureté d’un univers post-apocalyptique infesté de morts-vivants.​

Un univers de survival-horror

Les joueurs incarnent un groupe de survivants confrontés à des zombies assoiffés de sang, mais aussi à la violence des autres humains, aux pénuries et aux choix moraux impossibles. L’ambiance est résolument sombre, centrée sur la peur, la tension et la gestion des ressources, avec la promesse de campagnes où l’on explore peu à peu les secrets du monde et la nature même de l’infection.​ Après tous les films et séries qui nous inondent le cerveau, on vois tout de suite de quoi il va retourner.

Un système D100 efficace

Le jeu repose sur un système D100, proche dans l’esprit de L’Appel de Cthulhu : personnages définis par huit caractéristiques (physiques et mentales) et une dizaine de compétences, toutes exprimées en pourcentage. Plus le score est élevé, plus le personnage maîtrise son domaine, ce qui donne une lecture immédiate des capacités et une excellente lisibilité à la table.​

Pour toute action incertaine, on effectue un « test simple » : caractéristique + compétence, ajustements de contexte, puis jet de d100. Un résultat inférieur ou égal est une réussite, au-delà c’est un échec. Les scores terminant par 0 génèrent des critiques, sous forme de « facilités » (coup de chance) ou de « complications » (coup du sort). Des dés bonus/malus, l’équipement utilisé et la situation viennent affiner encore l’issue des tests pour rendre le tout encore plus crédible et immersif!

Quatre phases pour structurer la partie

Zombiology organise la partie en quatre grandes phases, qui rythment la fiction et le jeu.

• Aventure : les survivants explorent le monde, fouillent des lieux, se déplacent et font leurs découvertes en fonction des descriptions et des opportunités proposées par le MJ. C’est la phase des choix, des prises de risques et des fausses pistes, où l’on peut se perdre… ou trouver ce qui sauvera le groupe.
• Rôle : au cœur du jeu, les scènes de dialogue avec les PNJ permettent de comprendre l’histoire, négocier, mentir ou apaiser les tensions. Des tests d’« Arme Sociale » et d’autres compétences peuvent être requis pour déterminer l’issue des échanges, des alliances ou des trahisons.
• Combat : dans un monde de zombies, l’affrontement est inévitable. Gestion fine des rounds, initiative, surprise, encerclement… Les règles visent des combats à la fois tendus et crédibles, où la moindre erreur peut laisser un survivant au sol ou à la merci d’une horde.
• Gestion : moments de répit, fin de scénario ou repos prolongé sont l’occasion de gérer l’évolution des personnages. On y soigne les corps et les esprits, on récupère, on améliore ses compétences et on gère l’équipement, mais aussi les séquelles durables laissées par les blessures et les traumatismes.