Accueil Critique La team Paradoxe Temporel : week end Escape Games du 10 et 11 octobre 2015 à Paris La team Paradoxe Temporel : week end Escape Games du 10 et 11 octobre 2015 à Pariszast·CritiqueEscape GameGeekJeux·14 octobre 2015 à 21h43 zast Dernière mise à jour:9 novembre 2024 Les escape games fleurissent à vue d’œil dans la capitale française. Du fait de l’engouement des gamers, chaque semaine de nouvelles aires de jeux s’ouvrent. Désormais, il leur faut donc se démarquer. Ce weekend du 10 et 11 octobre 2015, notre équipe de Paradoxe Temporel (Stéphane dit Zast, Rachel, Florian et Jennifer) a investi Paris afin de tester 5 escape games. Notre mission : sauver le monde, ou plus exactement sauver la Terre d’une menace Zombie, sauver la Terre de l’Apocalypse prédite par une ancienne prophétie Maya, Eviter que les 10 plaies d’Egypte ne reviennent sur Terre, découvrir l’identité des membres d’une organisation secrète visant à effectuer des lavages de cerveaux, et enfin arrêter une bombe à temps. Nous avons joué, participé, nous nous sommes aventurés dans des lieux inconnus truffés de pièges tantôt avec notre blouse de docteurs, notre gilet jaune d’experts ou revêtant un chapeau d’archéologue à la Indiana Jones et, à la loupe, au microscope, nous avons étudié les indices, les vieux livres et cartes anciennes, étudié un alphabet d’un temps révolu, nous avons trouvé des cachettes secrètes et déjoué des cadenas improbables. Au final de ce weekend intense de 2 jours de jeux, il en ressort que deux escape games nous ont particulièrement séduit. La Terre a –t-elle été sauvée ? En fait, pas tout à fait. Notre équipe a échoué 2 fois.Voici les détails de notre parcours et nos conclusions qui sont aussi notre ressenti à tous les 4. Team Break : Walking dead : Notre avis Mystery Escape : La prophétie Maya : Notre avis L’Antichambre : Momie : Notre avisVoir aussizastJeux 29 février 2012 à 19h17Gravity Rush sur PlayStation Vita (PSVITA) 60 minutes escape : Les infiltrés : Notre avis Happy Hour Escape Game : Attentat à Palamento city : Notre avis