Accueil Critique Review de Zombie business de Jesse Petersen Review de Zombie business de Jesse Petersenzast·CritiqueLivre·17 octobre 2011 à 14h23 zast Dernière mise à jour:10 novembre 2024 Leur mariage se porte mieux que jamais, ils ont même monté leur petite entreprise d’extermination. Le marché est florissant : plein de zombies et donc plein de clients désireux de s’en débarrasser ! Sauf que… le cours du zombie s’affole quand certains s’avèrent plus difficiles à zigouiller. Une mutation ? Ce serait le début de la crise pour Sarah et David. Mon avis sur Zombie business de Jesse Petersen Ce second tome intitulé Zombie business de Jesse Petersen débute après l’invasion des morts vivants. Nos deux héros ont monté une petite entreprise de tueur de zombies. Tout comme dans le premier volume, David et Sarah ont toujours d’excellentes répliques. Cette fois-ci, l’aventure tourne autour de morts vivants très spéciaux. Cela fait référence assez vite à Resident evil et Umbrella corporation. Il vaut mieux avoir déjà lu le premier opus afin de mieux cerner ce couple assez particulier bien que ce ne soit pas réellement indispensable. L’humour et le gore sont toujours présents pour notre plus grand bonheur. De plus les personnages deviennent plus combatifs (peut être même trop). Il est à noter que l’espoir joue un grand rôle dans ce livre et surtout dans la manière d’agir des deux héros. C’est ce message universel qui a mon avis rend ce livre plus intéressant… On notera les mêmes défauts que sur le premier tome : Les mots utilisés sont toujours assez usuels et les descriptions moyennement précises …Voir aussiBenjamin GuimbertJeuxCritique 28 novembre 2017 à 19h18Test d’Anachrony chez Mindclash Games : notre anachronique Ce n’est toujours pas de la grande littérature mais au moins elle détend le lecteur et c’est le but principal de ce type de livre. But atteint ! Tel un mort vivant sur un humain, on dévore rapidement ce roman sans en louper une miette.
Benjamin GuimbertJeuxCritique 28 novembre 2017 à 19h18Test d’Anachrony chez Mindclash Games : notre anachronique