Accueil Critique Test de Remote Life PS5 zast Date de sortie27 mai 2022PlateformePS4, PS 5, Xbox One, Xbox Series X/S, SwitchGenreshoot 'em upDeveloppeurNext Game LevelNotre score94 Test et avis sur le jeu Remote Life PS5 Contrairement à beaucoup d’autres jeux vidéo, Remote Life a été créé par un développeur qui est un réel fan de shoot ’em up (shmup). Il s’agit de Mario Malagrino. Cela me fait penser d’une certaine façon à Eric Chahi qui avait créé dans les années 90 le jeu Another World. C’est important de savoir cela, car cette passion se ressent tout au long du jeu. L’histoire du jeu L’histoire est simple… Il faut sauver le monde d’une attaque extraterrestre avant qu’ils ne puissent envahir et détruire notre planète. Le concept est simple et pour ce type de jeu, je n’en demande pas plus. Le menu du jeu Le menu est assez simple. Il est plus conçu pour une souris qu’un pad, car il faut bouger son curseur sur les options. On retrouve les effets visuels, la difficulté et quelques effets qu’il est possible de désactiver. On peut aussi comprendre à quoi servent les touches de la manette. C’est simple et efficace. Il est possible de personnaliser son vaisseau. Les cinématiques du jeu Il n’y en a pas vraiment. Il y a quelques bribes d’histoires, mais ce n’est pas grand-chose. Ce n’est pas gênant. Le jeu Remote Life me fait penser à plein de jeux des années 80/90. Je pense à R-type et même à Xenon 2 Megablast de The Bitmap Brothers (bien que ce dernier soit en scrolling verticale et non pas horizontale). C’est sans doute dû aux graphismes que je trouve magnifiques. Le joueur se retrouve plonger dans l’espace dans un univers qui bouge tout le temps. Le créateur a dû passer énormément de temps à bien préparer ses décors. On n’est pas dans un univers trop coloré. C’est plutôt du style d’un alien de Ridley Scott avec l’ambiance de Giger pour le design. Le jeu est assez compliqué. Il n’y a pas obligatoirement plein de missiles qui arrivent sur le vaisseau du joueur, mais il faut faire attention à plein de détails. Le décor est d’ailleurs omniprésent, car on peut facilement s’écraser dessus. Je le trouve même plus compliqué que des shmups où il y a énormément de tirs ennemis. Il faut aussi réfléchir lorsque l’on joue, car il y a certains passages plus délicats que d’autres. On ne fait pas que tirer bêtement sur les vaisseaux et les monstres adverses. Les graphismes sont un mixte entre ceux que l’on connaissait dans les années 80/90 et les évolutions de maintenant. Je dois avouer que j’ai été scotché dès le départ du jeu par cette ambiance. Si j’ai évoqué Xenon 2, c’était aussi pour sa musique. Remote Life reprend les codes des meilleurs shoot ’em up (shmup) avec une ambiance musicale incroyable. En haut de l’écran, on peut voir le compteur en pourcentage de la partie. On sait si durant un niveau, si on se trouve au milieu ou à la fin. Les boss de fin de niveau sont énormes et ils possèdent un style de combat différent. Il est nécessaire bien souvent de recommencer le niveau une seconde fois pour réaffronter son boss, car on aura perdu la première fois.Voir aussiBenjamin GuimbertJeuxCritique 28 février 2019 à 00h13Test de Fugitive, attrape-moi si tu peux chez 2 Tomatoes Games et Pixie Games. Il y a plusieurs types d’armes. Certaines munitions sont infinies alors que d’autres sont très limités. Il faut les utiliser à bon escient pour réussir à passer les endroits les plus délicats. On dispose aussi de mégabombes que l’on utilise sur les boss de fin de niveau. Il y a une image que je vois assez souvent, c’est celle de Game Over. Conclusion de Remote Life Je dois avouer que je n’ai pas trouvé de défaut à Remote Life. C’est le genre de shmup qui ne se finit pas rapidement et qui demande des réflexes et de l’intelligence. On ne peut pas finir le jeu uniquement en étant un bourrin. Il y a une véritable difficulté même en niveau normal et c’est ce que j’ai adoré. Son développeur unique (rare de nos jours) a réussi son pari à proposer l’un des shoot ’em up de l’année sur console, car le jeu est déjà disponible depuis longtemps sur PC. Pour résumer, j’adore Remote Life et il va me demander encore pleins d’heure pour aller à la fin des 16 niveaux. Test en vidéo de Remote Life PS5 Test de Remote Life PS594
Benjamin GuimbertJeuxCritique 28 février 2019 à 00h13Test de Fugitive, attrape-moi si tu peux chez 2 Tomatoes Games et Pixie Games.